Bon, je vais tenter de retrouver mes souvenirs lointains pour conter ma dernière semaine d'Argentine.
Tout d'abord, dans ma maison où j'étais, tout le monde a son pot de départ quand il s'en va (cf post précédent). Et ben pas moi!! Chacun est parti de son côté, dans les montagnes, ciao bella rentre bien... et mon barbeuk??? Ah bah non ya plus personne à la maison, super snif!
Je pars donc dans mon désespoir infini (dans la journée le Norvégien m'a bien entendu plantée à notre last rendez-vous) vers la gare routière, 12 heures de bus pour Buenos Aires.
1ère mission, trouver l'auberge de jeunesse. Je me fais lamentablement arnaquer par mon taxi driver mais bon je suis saine et sauve à l'hôtel... et j'ai faim et je pue mais le check in c'est plus tard. Direction le MacDo (et oui...) pour becter un coup un gros cookie de la mort avec chocolat capuccino!! Yeah. Retour à l'hôtel où je rencontre un English qui voyage seul. Cool, un compagnon (ouf je ne serai pas seule car surtout, ne jamais oublier que l'Argentin est un obsédé).
J'ai vu un peu plus tôt une affiche pour le groupe Interpol et c'est à mon agréable surprise que la salle de concert est pile en face de mon auberge. Nous décidons avec Adrian (l'Anglais donc) d'y aller tant qu'à faire c'est pas cher...
C'est à mon grand malheur que je réalise que j'ai oublié mes sandales introuvables en France sous mon lit à CORDOBA... mert.
Le concert c'était bien, même si c'est pas trop mon genre de musique, l'éclairage était cool et les fonds d'écran (attention technologie!!) représentaient des zèbres se faisant manger par des lions....
Justement, le lendemain, nous allons au zoo, où je vois le résultat du concert...

Aéroport, après 20 minutes de taxi (dont le chauffeur adôôôre Charles Aznavour, et qui ne comprenait pas pourquoi moi je ne connaissais pas), pas de queue, retour super top, pas de voisin dans l'avion = banquette pour moi toute seule = gros dodo. On atterrit et la madame précise bien à tout le monde et dans quatre langues différentes qu'il fait 7 degrés. ARGH
Môman m'accueille. Retour maison, enfin...